Acte III : et plouf !

Acte III : on parvient enfin à déplier la voile entre un horaire matinal où l'aérologie n'est pas encore en place et l'heure où les cumulo-nimbus vous feraient regretter d'être en l'air.

Je reconnais que l'on est bien loin des conditions tahitiennes de rêve, mais que c'est grisant ce parapente !

acte II : plein les bras

Acte II : aller grimper dans les dévers de St Lèg', le plaisir est de s'en mettre plein les bras. Merci le pan d'escalade qui permet encore d'avancer honorablement dans du 7 (considération bassement matérielle de grimpeur en manque de falaise…). Le plaisir est surtout de passer la journée sur le rocher à lézarder avec les copains… enfin, avec la big canaille.

acte I : le vol-rando-optimiste

Quand il y a un vent à décorner des chèvres et que l'on est "addict" comme dirait Mik@, impossible de rester enfermé un week-end prolongé. Acte I : le vol-rando-optimiste, cette discipline consiste à croire que la météo s'est trompée et que l'on pourra tout de même voler malgré les quelques km/h de vent de trop annoncés.

Comme vous l'aurez compris, le "vol-rando-optimiste" se transforme souvent en "rando-tout-court", une autre discipline bien connue des parapentistes-optimistes...

arrêtons de croire aux bobards

Une fois de plus je ne suis pas allé voter, ça fait longtemps que je ne crois plus à ce jeu dont les dés sont complètement pipés. J'ai souvent eu du mal à expliquer clairement pourquoi je suis à ce point désintéressé de notre système politique.

Pour tenter d'exprimer mon ressenti, je renvoie souvent aux conférences d'Etienne Chouard, un type très intéressant qui s'exprime clairement (et qui plus est, un excellent parapentiste des années 90 !). Je vous invite à suivre une de ses interventions filmée à l'université de Montpelier : conférence d'Etienne Chouard. Prenez le temps, 1h08 c'est moins long qu'une finale de coupe d'Europe de foot et on s'emmerde beaucoup moins qu'en regardant des guignols aux grandes chaussettes taper dans un ballon rond. Cependant si vous n'avez vraiment pas la patience d'écouter ce genre de conférence, avancez au moins le curseur à la 21ième minute et laissez tourner 3 minutes, ça donne un aperçu.

Vol-rando à Miélandre

vous m'en mettrez pour 40km/h...

Encore une journée avec 40 km/h de vent dans le jardin. Je ne suis pas prêt de sortir la voile mais il y en a un qui se marre bien…

Ces quelques jours de vent à décorner les boeufs les tikis auront au moins permis de bêcher, de planter et de tenter de créer un nouveau potager (enfin... le lézard appellerait cela un mini-potager-de-lilliputien).

l'année du lièvre

Quand les préoccupations du quotidien sont centrées sur le parapente et l'escalade, certains bouquins nous rappellent sévèrement à quel point nous sommes nés du bon côté de la planète et à la bonne époque (ou presque…). L'année du Lièvre est une BD documentaire dans la veine du Photographe ou de Maus pour ne citer que les plus connues.

Tian, l'auteur, est né trois jours après la prise du pouvoir des Khmers rouges au Cambodge. Il raconte, à travers cet ouvrage le récit de sa famille en cette "année du lièvre". Le graphisme accompagne parfaitement le récit, l'ambiance est certes dramatique mais ne donne pas pour autant l'envie de fermer le bouquin, bien au contraire. Le troisième tome n'est pas encore sorti. Il faudra un peu de patience pour le trouver chez les bons libraires et sûrement pas chez Amazon...

les big-canailles

Le principe des "big-canailles" c'est de réussir en un week-end (prolongé) à grimper, voler et surtout... bien se marrer ! Fin du triptyque à St Jean de Sault avec une très chouette envolée au sud du Mont Ventoux.

Aïe… c'est bientôt lundi !

jeu d'ombres sur la falaise de St Léger du Ventoux

vol-rando

rando en famille

Je crois que nous sommes prêts, il ne reste qu'à trouver un âne pour nous porter le bivouac...

col d'Ey

à contre courant

Quand nous passons quelques jours à Paris, ce ne sont que des photos de champs, d'animaux ou de fleurs que nous retrouvons sur notre appareil photo. Il semblerait que traverser la campagne nous a plus emballé que d'errer dans la capitale.... heureusement qu'il y a eu les retrouvailles et les rencontres.